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En savoir plusLes antidépresseurs sont le plus souvent utilisés pour soulager la détresse de la dépression ou de l’anxiété,
Les antidépresseurs sont le plus souvent utilisés pour soulager la détresse de la dépression ou de l’anxiété, mais peuvent servir aussi à traiter d’autres affections, comme la boulimie et la douleur chronique.
Les antidépresseurs aident beaucoup de personnes. Cependant, ils ne conviennent pas à tout le monde. Même lorsqu’ils fonctionnent bien, leurs effets sont limités. Ils produisent souvent les meilleurs résultats lorsqu’ils sont combinés à la thérapie par la parole, au soutien des membres de la famille et des amis, et à l’autogestion de la santé (p. ex., exercice, régime alimentaire sain et suffisamment de sommeil).
Il faut attendre plusieurs semaines avant que les antidépresseurs ne produisent pleinement leurs effets. L’amélioration du sommeil, de l’appétit et de l’énergie sont souvent des signes précurseurs de l’efficacité du médicament. L’amélioration de l’humeur se manifeste habituellement plus tard.
Toute personne affligée pendant plus de deux semaines par des sentiments de tristesse, de détresse et de désespoir, ou par une inquiétude excessive difficile à dompter, devrait consulter un médecin pour subir une évaluation et discuter de ses options de traitement et de soutien. Plus le traitement commence tôt, plus il produira les effets escomptés.
Le patient ne doit pas manquer d’informer son médecin si son besoin de sommeil est réduit et il ressent une abondance d’énergie inhabituelle, ou si son humeur est passée d’une sensation de dépression à une sensation de bonheur ou d’irritabilité inhabituelle. Dans ces situations, il est possible que les psychorégulateurs soient plus adaptés, qu’ils soient pris seuls ou en combinaison avec des antidépresseurs. En effet, les antidépresseurs seuls peuvent amener certaines personnes à passer de la dépression à la manie.
Les médicaments ne sont qu’un moyen de traiter la dépression et l’anxiété. La thérapie par la parole, comme la thérapie interpersonnelle et la thérapie cognitivo-comportementale, peuvent être tout aussi efficaces. Le soutien par les pairs, le counseling scolaire et professionnel, ainsi que l'aide au logement et à l’emploi peuvent également aider à régler les problèmes ayant déclenché ou aggravé la dépression ou l’anxiété.
Les antidépresseurs augmentent l’activité des substances chimiques (les neurotransmetteurs), comme la sérotonine, la noradrénaline et la dopamine, dans le cerveau. Cette augmentation semble aider à atténuer les symptômes de la dépression et de l’anxiété. Cependant, le cerveau est un organe très complexe et les raisons pour lesquelles ces médicaments fonctionnent ne sont pas encore entièrement comprises.
Nous savons que ces médicaments aident à soulager les symptômes de dépression et d’anxiété chez presque 70 % des personnes qui les essayent. Ce taux est encore plus élevé chez les personnes qui n’obtiennent pas de soulagement avec un type d’antidépresseurs et essaient un autre.
Tous les médicaments peuvent avoir des effets secondaires, mais certaines personnes n’en ressentent aucun. D’autres peuvent trouver les effets secondaires inquiétants. Dans la plupart des cas, les effets secondaires diminuent à mesure que le traitement se poursuit.
Afin de réduire les effets secondaires, le médecin prescrit habituellement une faible dose et l’augmente progressivement jusqu’à trouver la dose idéale, laquelle procure le plus grand nombre de bienfaits et produit un minimum d’effets secondaires.
En cas d’effets secondaires, la personne doit vérifier les renseignements fournis par son médecin ou pharmacien sur les effets particuliers de tout médicament qui lui a été prescrit. Si ces effets ne sont pas légers et tolérables, il est préférable de continuer à prendre le médicament comme prescrit, mais de consulter son médecin le plus tôt possible. Ce dernier peut alors :
Les effets secondaires varient selon le type de médicament. De plus amples renseignements sur les effets secondaires sont précisés ci-dessous pour chaque type d’antidépresseur.
Lorsqu’on entreprend un traitement médicamenteux contre la dépression, on peut courir un risque accru de suicide, surtout chez les adolescents et les jeunes. Une des explications possibles est l’augmentation d’énergie qui survient au début du traitement et précède l’amélioration de l’humeur. En d’autres termes, les antidépresseurs peuvent donner à certaines personnes l’énergie nécessaire pour mettre à exécution leurs pensées suicidaires.
Certains antidépresseurs peuvent également provoquer des sentiments d’agitation, d’instabilité psychomotrice, et de détachement. Ces sentiments peuvent ressembler à des symptômes d’anxiété et accroître le désespoir et la détresse, plutôt que de les soulager. Certaines personnes peuvent devenir suicidaires ou violentes. On pense que cette réaction aux antidépresseurs se produit chez environ quatre pour cent des personnes qui en prennent, le risque étant le plus élevé au cours des premières semaines de traitement.
Avant d’entamer le traitement, se préparer à la possibilité que l’état mental se détériore avant de s’améliorer. Savoir quels soutiens sont à sa disposition et qui appeler au besoin.
Au début du traitement, surveiller ses pensées et son humeur, et communiquer toute pensée de se blesser ou de blesser autrui à son médecin, à une ligne d’écoute téléphonique ou se rendre au service des urgences d'un hôpital.
En cas d’augmentation des pensées suicidaires ou de l’anxiété, le médecin traitant peut décider s’il convient d’arrêter le traitement ou de patienter et de donner au médicament la chance de produire ses effets.
Il existe plusieurs classes d’antidépresseurs, de nombreux médicaments appartenant à chaque classe. Bien que tous les antidépresseurs fonctionnent bien dans l’ensemble, aucun médicament ou type de médicament ne fonctionne aussi bien pour toutes les personnes qui en prennent. Le médecin peut proposer plus d’un type d’antidépresseur ou une combinaison d’antidépresseurs pour soulager la détresse.
Les différents types d’antidépresseurs sont énumérés dans l’ordre dans lequel ils sont le plus souvent prescrits. Les médicaments sont désignés de deux façons : par leur nom générique et par leur marque ou leur nom commercial. Les noms de marque vendus au Canada apparaissent entre parenthèses.
Ce groupe de médicaments, notamment la fluoxétine (Prozac), la paroxétine (Paxil), la fluvoxamine (Luvox), le citalopram (Celexa), l’escitalopram (Cipralex) et la sertraline (Zoloft), est habituellement le premier choix pour le traitement de la dépression et des troubles anxieux. Les effets secondaires attribuables à ces médicaments sont habituellement plus faibles que d’autres antidépresseurs. La buspirone (Buspar) est semblable aux ISRS et a fait ses preuves dans le traitement de l’anxiété, mais non de la dépression.
Les effets secondaires courants comprennent les nausées, les vomissements, la diarrhée, la prise de poids, la sécheresse de la bouche, les maux de tête, l’anxiété, la sédation et une diminution de la libido et de la réponse sexuelle. Ce groupe de médicaments peut également provoquer une sensation de nervosité ou d’agitation, et des troubles du sommeil, comme les problèmes d’endormissement, les réveils nocturnes, les rêves intenses ou les cauchemars.
Cette classe de médicaments comprend la venlafaxine (Effexor), la duloxétine (Cymbalta), le lévomilnacipran (Fetzima) et la desvenlafaxine (Pristiq). Ces médicaments servent à traiter la dépression, les problèmes d’anxiété et la douleur chronique.
Les effets secondaires courants comprennent les nausées, la somnolence, les étourdissements, la nervosité ou l’anxiété, la fatigue, la perte d’appétit et les problèmes sexuels. À des doses plus élevées, ils peuvent augmenter la tension artérielle.
Le bupropion (Wellbutrin, Zyban) constitue le seul médicament appartenant à cette classe. Lorsqu’il est utilisé pour traiter la dépression, il est souvent administré pour ses effets énergisants, en combinaison avec d’autres antidépresseurs. Il sert également à traiter le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité et comme aide au sevrage tabagique.
Les effets secondaires courants sont la nervosité et l’insomnie.
La mirtazapine (Remeron), le médicament appartenant à cette classe, a l’effet sédatif le plus fort, ce qui présente un avantage pour les personnes qui souffrent d’insomnie ou d’anxiété grave. La mirtazapine a également un effet stimulant sur l’appétit.
Les effets secondaires courants sont la somnolence et la prise de poids.
Cette ancienne classe d’antidépresseurs comprend l’amitriptyline (Elavil), l’imipramine (Tofranil), la désipramine (Norpramin), la nortriptyline (Aventyl), la trimipramine (Surmontil) et la clomipramine (Anafranil).
Comme la plupart de ces médicaments ont des effets secondaires plus graves que les médicaments plus récents, ils ne constituent généralement pas le premier choix de traitement. Néanmoins, on peut y avoir recours lorsque d’autres médicaments n’ont pas l’effet désiré contre la dépression grave.
Les effets secondaires courants comprennent la sécheresse de la bouche, les tremblements, la constipation, la sédation, la vision trouble, la difficulté à uriner, la prise de poids et les étourdissements. Comme ces médicaments peuvent provoquer des arythmies cardiaques, le médecin devrait réaliser un électrocardiogramme (ECG) avant de prescrire un antidépresseur cyclique.
Les inhibiteurs de la monoamine-oxydase (IMAO), parmi lesquels figurent la phénelzine (Nardil) et la tranylcypromine (Parnate), constituent la première classe d’antidépresseurs. Bien qu’ils soient efficaces, on les prescrit rarement, car les personnes qui les prennent doivent s’astreindre à un régime alimentaire spécial.
Plus récent, le moclobémide (Manerix) ne nécessite pas de régime spécial, mais pourrait ne pas avoir l’efficacité des autres IMAO.
Les effets secondaires courants comprennent la variation de la tension artérielle lorsqu’on passe de la position assise ou couchée à la position debout (hypotension orthostatique), l’insomnie, les boursouflures et la prise de poids.
Lorsqu’une personne commence à prendre un nouvel antidépresseur, elle doit d’abord déterminer si elle peut tolérer ses effets secondaires; ce qui devrait être évident dès les premières semaines. L’étape suivante consiste à déterminer si le médicament soulage sa dépression ou son anxiété. Des améliorations devraient être ressenties dans un délai de deux à quatre semaines. Le rétablissement complet est se produire dans une période allant de six à douze semaines.
Si le médicament produit les effets escomptés, le médecin conseillera à la personne de continuer à le prendre pendant au moins six à neuf mois après avoir commencé à ressentir ses effets bénéfiques. Les personnes qui cessent de prendre les antidépresseurs trop tôt risquent de présenter de nouveau les symptômes de leur dépression ou de leur trouble anxieux. Le traitement doit généralement se poursuivre pendant au moins un an. Si la dépression refait surface chaque fois qu’on arrête de prendre son médicament, il faudra envisager une période de traitement plus longue.
Les médicaments qui créent une dépendance suscitent un sentiment d’euphorie, le désir intense de continuer à en prendre et le besoin d’accroître la quantité employée pour ressentir les mêmes effets. Les antidépresseurs n’ont pas ces effets.
Les antidépresseurs ont cependant une chose en commun avec certaines médicaments qui créent une dépendance — ils peuvent causer des effets de sevrage lorsqu’on cesse d’en prendre. En effet, quand on prend un antidépresseur pendant des mois, voire des années, l’organisme s’y habitue. Si on cesse de l’utiliser, surtout si c’est fait d’un coup, on pourrait ressentir des effets de sevrage, comme les douleurs musculaires, les sensations de choc électrique, les étourdissements, les maux de tête, les nausées, les frissons et la diarrhée. Ces effets se manifestent le plus souvent avec la paroxétine (Paxil) et la venlafaxine (Effexor), mais peuvent aussi survenir avec n’importe quel autre antidépresseur. Certaines personnes trouvent ces effets pénibles et ont de la difficulté à se sevrer de ces médicaments.
Qu’on veuille réduire sa dose ou arrêter de prendre un médicament, la même règle s’applique : il faut le faire graduellement. Les changements brusques augmentent considérablement le risque de subir un nouvel épisode de dépression ou de ressentir les effets de sevrage.
La première étape consiste à se demander si c’est le moment propice. La personne se sent-elle bien? Le niveau de stress dans sa vie est-il acceptable? Se sent-elle soutenue par sa famille et ses amis?
Si elle pense être prête, elle doit en parler son médecin. Si ce dernier n’est pas d’accord, elle devrait s’informer de la raison et, si elle n’est pas satisfaite des raisons données, ferait bien de consulter un autre médecin pour obtenir un deuxième avis.
Si le médecin est d’accord, il précisera qu’il ne faut pas sauter la dose, mais de la réduire graduellement — habituellement d’environ 10 % à la fois, au moins deux à trois semaines séparant deux réductions. Ce processus prendra ainsi plusieurs mois. Un coupe-comprimé pourrait servir à réduire la dose en petites quantités.
Si la personne prend plusieurs médicaments, il est généralement recommandé de réduire la dose d’un médicament à la fois.
Si, suivant la réduction de la dose, la personne se sent mal, elle doit en parler avec son médecin, lequel peut déterminer s’il s’agit d’effets de sevrage ou de signes d’une réapparition des symptômes. Il ne faut pas avoir peur d’augmenter la dose de nouveau. L’important est de trouver la dose optimale.
Les antidépresseurs peuvent interagir avec d’autres types de médicaments, y compris les médicaments en vente libre, comme les comprimés contre le rhume et les allergies, les sirops contre la toux, et les plantes médicinales, comme le millepertuis. Il importe de toujours demander au médecin, dentiste ou pharmacien s’il y a un risque d’interaction entre les médicaments prescrits et ceux que l’on prend déjà.
La consommation d’alcool peut aggraver les symptômes de la dépression ou de l’anxiété. L’alcool peut aussi aggraver certains effets secondaires des antidépresseurs, causant somnolence, étourdissements et vertiges. Cependant, les personnes qui prennent des antidépresseurs depuis plus de quelques semaines et se sentent bien devraient pouvoir prendre un verre ou deux à l’occasion. Il faut cependant savoir qu’un verre pourrait avoir l’effet de deux ou même trois verres.
Chez les personnes aux prises avec une dépression ou un trouble anxieux, la caféine dans le café et d’autres boissons peut avoir des effets nuisibles. La dépression perturbe le sommeil et la caféine, un stimulant, pourrait aggraver le problème. Il est donc recommandé de consommer des boissons décaféinées ou de réduire sa consommation de caféine.
Il y a de fortes chances que la prise d’antidépresseurs vise à soulager les symptômes de la dépression ou de l’anxiété, et à se sentir bien dans sa peau. Bien que les drogues de rue comme la marijuana ou la cocaïne puissent procurer un sentiment de bien-être momentané, elles peuvent aggraver le problème de santé. Les drogues de rue peuvent également interagir avec les antidépresseurs, par exemple en nuisant à leur efficacité ou en aggravant les effets secondaires.
La dépression elle-même peut entraîner des problèmes de fatigue et de manque de concentration, ce qui affecte la capacité de conduire. Les antidépresseurs, eux, peuvent causer de la somnolence, surtout aux premiers stades du traitement, avant que l’organisme ne s’y habitue. Si on se sent somnolent, il ne faut pas conduire un véhicule ou ni faire fonctionner des machines. L’alcool, les sédatifs et les antihistaminiques (médicaments contre le rhume et le rhinite allergique saisonnière) aggraveront le problème. Il n’est jamais sage de conduire après avoir bu de l’alcool, et il est encore plus important de suivre cette règle lorsqu’on prend des antidépresseurs.
La dépression et les médicaments utilisés pour la traiter peuvent tous deux diminuer le désir sexuel. Les antidépresseurs, en particulier ceux qui augmentent l’activité de la sérotonine, peuvent aussi nuire à la fonction sexuelle : retard de l’éjaculation et incapacité à atteindre l’orgasme.
De nombreux facteurs influent sur la sexualité. Lorsque les antidépresseurs soulagent la détresse causée par la dépression ou l’anxiété, il est plus facile de se concentrer davantage sur son partenaire et d’éprouver plus de désir. Si la personne pense que ses médicaments affectent sa fonction sexuelle, elle peut demander à son médecin de changer sa dose, de remplacer son médicament ou de lui prescrire d’autres médicaments.
Comme la situation de chaque femme est unique, il est conseillé d’en discuter avec son médecin. Pour toute femme enceinte ayant des antécédents de dépression, la question de savoir si elle doit prendre des antidépresseurs pendant la grossesse se résume généralement à une analyse risques-avantages. La dépression peut affecter les soins prénatals et la capacité d’une mère à s’occuper de son nourrisson. Lorsque le traitement aux antidépresseurs permet d’éviter une rechute ou de réduire la détresse, les avantages de poursuivre le traitement peuvent l’emporter sur les risques.
Les antidépresseurs sont relativement sûrs à utiliser pendant la grossesse. Lorsqu’ils sont pris peu avant l’accouchement, les nouveaux-nés peuvent être agités et irritables, et avoir des difficultés à dormir, à se nourrir et à respirer. Ces problèmes disparaissent en l'espace de trois jours à deux semaines. Les antidépresseurs n’augmentent pas le risque de malformations congénitales.
La quantité d’antidépresseurs qui passe dans le lait maternel est très faible et n’est pas considérée comme un risque pour le bébé, surtout lorsqu’on tient compte des avantages de l’allaitement maternel.
Toute maman qui décide d’arrêter de prendre ses médicaments pendant la grossesse ou l’allaitement devrait consulter son médecin plus souvent pour qu’il l’aide à surveiller la réapparition des symptômes.
La plupart des antidépresseurs ne sont pas officiellement approuvés pour les enfants et les adolescents. Le traitement de première intention pour ce groupe d’âges devrait toujours se concentrer sur la résolution des problèmes dans la vie du jeune et sur le counseling. Cependant, lorsque la détresse est si grave que les solutions non médicamenteuses ne sont pas possibles ou qu’elles ne produisent pas les effets escomptés, les antidépresseurs peuvent être envisagés. Les études sur les enfants et les jeunes qui prennent des antidépresseurs suggèrent un risque accru de pensées et de comportements suicidaires, mais pas de décès par suicide.
Les antidépresseurs constituent un traitement efficace contre la dépression chez les adultes de plus de 65 ans et peuvent réduire le risque de suicide chez cette population. Toutefois, la susceptibilité aux médicaments étant plus importante chez les personnes âgées, les effets secondaires sont plus fréquents. Comme celles-ci prennent souvent plusieurs médicaments à la fois, elles sont aussi plus vulnérables aux interactions médicamenteuses. Elles commencent habituellement par des doses plus faibles, et la dose est augmentée à un rythme plus lent.
Texte adapté de « Comprendre les médicaments psychotropes : Les antidépresseurs » (© CAMH, 2012).
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