CAMH et le PSMIR reconnaissent les effets uniques que la COVID-19 a sur la santé mentale des immigrants et des réfugiés. Nous sommes profondément reconnaissants des fournisseurs de services qui soutiennent leurs clients pendant cette période difficile. Veuillez visiter cette page pour les ressources qui peuvent être utiles pour vous.
Le Projet sur la santé mentale des immigrants et des réfugiés offre une formation, des outils et des ressources en ligne aux professionnels qui travaillent avec des immigrants et des réfugiés dans les domaines de l’établissement, des services sociaux et des services de santé. En y participant, vous pourrez enrichir vos connaissances, développer vos compétences, avoir accès à des outils et gagner de nouvelles stratégies à mettre en œuvre dans votre travail. Vous aurez l'occasion de communiquer et d'échanger des idées et des expériences avec des centaines de fournisseurs de services de partout au Canada ainsi que d’obtenir l’avis d’experts en la matière. Toutes les activités sont autogérées, alors prenez votre temps et explorez les différents éléments du projet.
Le projet repose sur le Projet sur la santé mentale des réfugiés, dont la portée a été élargie pour y inclure les problèmes et les troubles de santé mentale avec lesquels sont aux prises les divers groupes d’immigrants et de réfugiés, ainsi que les services, les traitements et les mesures de soutien fondés sur des données probantes pouvant répondre de façon efficace aux besoins particuliers de ces groupes.
Ce projet est financé par Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC).
Dans l’ensemble, la santé physique et mentale des immigrants nouvellement arrivés est meilleure que celle des personnes nées au Canada. Les réfugiés sont plus susceptibles d’avoir des problèmes et des troubles de santé mentale que les immigrants. Toutefois, la santé mentale des immigrants et des réfugiés a tendance à se détériorer après leur arrivée au Canada. Les taux de problèmes de santé mentale et de maladies mentales varient considérablement entre les groupes et au sein des groupes. Des recherches laissent croire que le risque de détérioration de la santé mentale est plus élevé parmi certains sous‑groupes. Une approche unique en matière de modèles de services n’est pas efficace.
